Bien choisir son école de commerce

Vous venez de vous décider à intégrer une école de commerce cette année ou l’année prochaine ?

Vous venez de recevoir vos résultats d’admissibilité ?

Cet article est fait pour vous !

 

Dans cet article, nous vous donnons 7 conseils pour bien choisir votre future école de commerce.

Chez PGE-PGO, nous sommes presque tous passés par une école de commerce, cet article se base donc sur notre vécu mais aussi et surtout sur notre expertise car nous avons préparé aux concours plus de 10 000 étudiants et les avons guidés dans leur choix. N'oubliez pas que réussir ses études passe par le travail personnel mais passe aussi par le fait de faire les bons choix. 

 

Conseil n°1 : Assurez-vous que l’école est compatible avec votre projet professionnel

N’oubliez pas que l’objectif d’une école de commerce est de vous amener à un métier. Votre choix d’école doit d’abord se faire sous ce prisme là, et ce même si votre projet professionnel peut être amené à évoluer.

Posez-vous la question : « Comment chaque école, concrètement, peut m’accompagner dans mon projet ? »

Voici quelques critères à prendre compte pour vous assurer de la compatibilité de l’école avec votre projet professionnel :

  • Le diplôme délivré. Pour les étudiants de Terminale : de quel type de diplôme il s’agit ? D’un Bachelor ? D’un BBA ? D’un Master ?
  • Les spécialisations proposées. Regardez les spécialisations qui vous intéressent et creusez la maquette pédagogique : en quelle langue ? Combien de temps ? Quelles places pour les relations entreprises ? Y a-t-il des étudiants étrangers ? etc…
  • Les échanges internationaux possibles. Est-il question de campus de l’école à l’étranger ou des échanges universitaires ? Parmi les régions du monde qui vous attirent, l’offre est-elle fournie ? Quels sont les quotas ? Quels sont les pré-requis pour entrer dans les échanges souhaités ? Quels sont les doubles diplômes possibles à l’étranger ?
  • Les partenariats avec des institutions françaises. Quelles sont les possibilités de doubles parcours qui vous intéressent ? Ces doubles parcours sont-ils possibles dans telle ou telle école ? Ex : EDHEC – Droit / Audencia – Sc Po ou IFP / etc…
  • Les entreprises partenaires. Quelles sont-elles ? Sont-elles nombreuses ? Comment cela se traduit dans les faits : les entreprises partenaires sont-elles présentes aux forums entreprises ? Partenariat avec un Master en particulier ? Animation de conférences ?

 

Conseil n°2 : Assurez-vous que vous trouverez votre bonheur dans les associations de l’école

S’il y a bien quelque chose qui rythme la vie d’un étudiant d’une école de commerce, c’est la vie associative ! En parallèle de vos cours, c’est votre rôle dans une ou plusieurs associations qui vous prendra du temps. S’investir dans une association en école est bon moyen de se faire des amis mais aussi de se professionnaliser, c’est pour cela que les écoles accordent beaucoup d’importance à la vie associative.

Pour chaque école, il faudra vous renseigner sur les différentes associations qui rythment la vie de l’école et vous poser ces questions :

  • Y en a-t-il pour tous les goûts ?
  • Y a-t-il assez d’associations pour tout le monde ?
  • Est-il possible de faire partie de plusieurs associations ?

Attention, il ne faut pas que le critère associatif soit votre premier critère de sélection. En effet, même si les associations portent des noms différents selon les écoles, l’offre associative est globalement la même. Mais regardez quand même comment s’organise les associations qui vous intéressent et quelles sont leurs prérogatives ? Par exemple, un Bureau des Sports d’une même école n’a ni le même budget, ni le même champ d’action, ni les mêmes événements à organiser…

Conseil n°3 : Renseignez-vous sur le réseau Alumni

Un réseau Alumni se compose des anciens élèves d’une école, à partir du moment où vous êtes diplômés : vous faites partie de ce réseau. Ce réseau peut présenter plusieurs avantages : accroitre la renommée de l’école en France et à l’étranger, favoriser les retours d’expérience entre diplômés et étudiants, faciliter la recherche d’emplois des étudiants et des jeunes diplômés… et bien d’autres avantages encore !

Pour vous assurer que vous profiterez de ces avantages, posez-vous les questions suivantes : 

  • De combien d’anciens élèves ce réseau est-il constitué ? (Cela peut varier considérablement d’une école à une autre !)
  • Comment le réseau des anciens est-il organisé ?
  • Y a-t-il un service dédié au développement et à la gestion du réseau des anciens au sein de l’école ?
  • Est-il implanté dans des zones géographiques que vous visez ?
  • Vous permet-il d’entrer facilement en contact avec les anciens étudiants ?
  • Vous permet-il de rencontrer régulièrement les anciens étudiants ?
  • Après la diplomation, ce réseau organise-t-il des événements pour retrouver vos anciens camarades de promotion ?

 

Conseil n°4 : Informez-vous sur les possibilités d’entreprendre au sein de l’école

Vous avez déjà un projet dans la tête où vous cultivez l’idée d’un jour créer votre entreprise et vous vous dîtes : pourquoi pas en école de commerce ? Il vous faudra absolument vous renseigner sur les possibilités qu’offrent les écoles sur ce point. Toutes les écoles favorisent d’une manière ou d’une autre l’entreprenariat mais toutes ne mettent pas le même accent dessus ou ne proposent pas de parcours spécifique.

 

Si l’entreprenariat vous intéresse, informez-vous sur les points suivants : 

  • L’école dispose-t-elle d’un incubateur ?
  • Le partage-t-elle avec une autre école ? (Par exemple, Audencia partage son incubateur avec Centrale Nantes)
  • Est-il possible de l’intégrer dès la première année ?
  • Quelles sont les conditions pour l’intégrer ?
  • Existe-t-il des parcours spécifiques pour les personnes qui souhaitent entreprendre en école ?
  • Quelles sont les aides (administratives, financières…) mises à disposition ?

 

Conseil n°5 : Faites confiance à votre instinct

Après avoir pris ces différents critères en compte, vous pouvez intégrer à la réflexion des sensations, des jugements plus irrationnels. Par exemple, des ressentis après un salon étudiant ou des journées portes ouvertes. C’est un premier contact avec les écoles avant les oraux. C’est la première occasion pour vous d’échanger avec des élèves de l’école, des professeurs, des membres de l’administration ou des anciens élèves. Souvenez-vous bien de ce que vous avez ressenti à ce moment-là et la sensation que ce moment vous a donné. Avez-vous apprécié l’échange ? Ce qu’on vous a dit de l’école vous a-t-il plu ? Voulez-vous en savoir un peu plus ?

Mais le vrai moment où vous allez pouvoir vous faire une idée de l’ambiance dans l’école, découvrir les campus, la ville : c’est au moment des oraux ! C’est une étape clé pour vous, vous passerez vos entretiens de motivation et vos oraux de langues, il faudra donc être bien préparés. Mais les oraux ce n’est pas seulement des épreuves, c’est une découverte ! Pendant 1 ou plusieurs jours, vous serez en immersion dans cette école, vous découvrirez les campus, les villes qui les entourent, les élèves qui sont dans les écoles et vous pourrez leur poser toutes les questions que vous voulez ! C’est à ce moment-là que votre choix se fera quand vous hésiterez entre deux écoles équivalentes : cela se fera grâce au feeling ressenti pendant les oraux.

Alors parfois, il faut savoir écouter son cœur, en prenant quand même en compte que cela ne projette absolument rien de vos prochaines années dans cette école et dans cette ville.

Mais n’oubliez pas que tout ce qui est irrationnel ne doit pas rentrer seul en ligne de compte, même si cela doit avoir un poids.

 

Conseil n°6 : Dédramatisez le choix d’une école

Vous attendez les résultats avec un impatience et vous avez travaillé dur pour intégrer l’école de vos rêves, mais sachez une chose : le choix d’une école, le refus d’une école, ne conditionne pas la vie professionnelle ! Rien n’est décidé à 20 ans, quand vous choisissez (et donc refusez) une école de commerce, cela ne présage en rien de votre vie et réussite professionnelle.


Si vous êtes bons en école, dans vos premiers jobs, vous réussirez la carrière que vous méritez. L’école ne conditionne jamais une carrière. Donc d’une certaine manière, dédramatisez ce choix.
Et à l’inverse, si vous ne profitez pas des opportunités offertes par l’école, aussi bonne soit-elle, et que vous êtes dilettante sur les stages ou 1er jobs, vous serez ensuite en difficulté.

N’oubliez pas : c’est ce que l’on fait de son école qui est important !

Maintenant, cela n’empêche que le choix d’une école n’est jamais anodin, puisqu’elle conditionne votre vie dans les 3 ou 4 prochaines années et votre réseau et amitiés à vie.

C’est pourquoi ce choix doit être pensé et éclairé, d’abord sur des éléments concrets (académique, professionnelle, associatif), et ENSUITE, sur des éléments plus irrationnels (ambiance de l’école, situation de la ville…)

 

7 - Évitez certaines erreurs

 

  • Choisir une école uniquement en fonction de la ville (proximité de chez vous…)
  • Eliminer une école par des rumeurs ou jugements, sans avoir creusé l’offre pédagogique
  • Ne choisir une école que pour ces grades (AACSB, EPAS, AMBA, EQUIS). Ce sont des éléments trop intangibles pour vous. Une école triplement accréditée peut ne pas vous convenir, à l’inverse d’une dont il manque une accréditation.
  • Choisir en fonction du seul classement, même si cela reste un indicateur

 

Concernant les classements :

  • Une école classée 3ème justifie quand même son classement par rapport à une école classé 15 ou 20.
  • Donc pour un écart significatif, si vous hésitez entre deux écoles, il faut quand même prendre en compte le classement
  • Si un écart n’est pas significatif (<5 places) alors, n’y accordez pas une importance démesurée
  • Il faut raisonner en termes d’opportunité, une école classée 3ème va proposer plus d’opportunités à ses étudiants qu’une école classée 25ème. MAIS, si un étudiant saisit toutes les opportunités dans une école moins bien classée, par rapport à un étudiant qui ne fait rien dans une bonne école, alors il sera exactement au même stade que lui si ce n’est même dans de meilleures conditions pour construire sa carrière.

 

Dans tous les cas, vous serez heureux en école. Profitez de ces moments, de ces années avant d’entrer dans la vie active et dans l’âge adulte, car vous avez plein de choses à y construire. Optimisez ces années de passage !

 

Votre choix sera le bon.

 

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Bien choisir son école d’ingénieurs

Vous êtes attiré(e) par les études scientifiques et souhaitez vous orienter vers une école d’ingénieurs. Là commence le parcours du combattant pour savoir quelles écoles correspondent à vos envies et vos attentes, et par conséquent quels concours passer.

Mais comment choisir son école d'ingénieurs ? Pour vous aider dans vos choix, PGE-PGO, institut de préparation aux concours, à dresser une liste de critères à prendre en compte pour faire votre sélection de façon organisée et réfléchie.

Ingénieur, quèsaco ?

Pour commencer, clarifions ce que revêt comme réalité le mot ingénieur. En effet, il s’agit plus d’un titre que d’un métier, et il conduit à une grande diversité de professions dans les domaines technique et scientifique, et dans différents secteurs d’activité (Télécoms réseaux, environnement, informatique, finance, aéronautique…).

Hormis les formations courtes comme les licences scientifiques à l’université, les BTS ou les IUT scientifiques, la plupart des cursus ingénieur se déroule en 5 ans avec la possibilité de compléter par un MBA ou un Master spécialisé.

Prépa ou pas prépa ?

Si vous visez les écoles en haut des classements et êtes prêt à travailler très intensivement, à mettre de côté votre vie personnelle pendant 2 ans, et si vous avez une bonne capacité à gérer votre stress, alors vous pouvez envisager de postuler aux classes préparatoires grandes écoles (CPGE).

Si vous ne vous sentez pas armé ou suffisamment motivé pour entreprendre ces classes prépa, vous pourrez alors vous orienter vers une école d’ingénieur post-bac, avec « prépa intégrée », qu’elle soit publique ou privée.

Comment choisir son école ?

Il vous faudra tout d’abord déterminer si vous souhaitez vous diriger vers une école qui présente une spécialisation (électronique, biologie, BTP…) ou une école généraliste qui propose un cursus commun sur les 3 premières années puis une spécialisation.

Par la suite, vous devrez étudier les 6 critères suivants et les croiser en fonction de vos priorités, pour établir la liste des écoles cibles :

- La dimension pédagogique (longueur du parcours, nombre d’heures de cours par semaine, nombre d’étudiants encadrés par 1 personne, profil des intervenants…)

- La dimension professionnelle (nombre et durée des stages, alternance possible, partenariats avec des entreprises, réseau alumni, niveau de rémunération, les débouchés…)

- La dimension internationale (cours en langue étrangère, campus et/ou partenariats avec d’autres établissements à l’étranger…)

- Les éléments de la reconnaissance (notoriété et image de l’école, place dans les classements, reconnaissance « Commission des titres d’ingénieur », appartenance à la conférence des Grandes Écoles, le diplôme d'ingénieur délivré…)

- Le coût de la scolarité et les éventuels frais de vie si vous choisissez une école loin de votre domicile. Vous étudierez également les possibilités de bourse et leurs critères d’attribution

- L’école en elle-même : campus en centre-ville ou en périphérie, dynamisme économique de la région, locaux et équipements (laboratoires de recherche)

Une fois que vous aurez étudié ces critères objectifs pour établir votre « short-list », vous pourrez aussi faire confiance aux impressions que vous vous serez forgées lors des portes ouvertes – nous vous invitons vivement à vous y rendre – et au(x) coups de cœur que vous aurez ressentis(s) pendant les oraux.

Alors, comment choisir son école d'ingénieurs ? Vous avez toutes les réponses maintenant pour faire votre choix, et ce sera le bon ! 

Bonne sélection !

Article initialement publié dans Ouest France, le 05/03/2020 : https://www.ouest-france.fr/education/etudiant/ecoles-ingenieurs/comment-bien-choisir-son-ecole-d-ingenieur-6766387

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Les critères de choix d’une école de commerce

Vous souhaitez passer les concours des écoles de commerce ? Pour bien faire votre choix d’écoles, vous vous rendrez aux portes ouvertes des écoles ; vous passerez du temps dans les salons pour pouvoir avoir des informations et faire votre choix. Mais au-delà, comment faire son choix parmi plus de 200 écoles de commerce en France ? A PGE PGO, nous vous donnons quelques critères sur lesquels vous pouvez vous appuyer !

 

Critère n°1 : L’excellence académique

 

Les écoles de commerce ne sont pas toutes reconnues de la même façon. Les écoles de commerce qui dépendent des Chambres de commerce et d’industrie sont reconnues par l’Etat. Les écoles privées, quant à elles, ne le sont pas forcément car elles ne sont pas contrôlées par l’Etat. Elles sont évaluées par leur rectorat sur certains critères : corps enseignant, pédagogie, infrastructures, gestion financière... Cela n’exclut pas qu’elles peuvent être reconnues par l’Etat et le Ministère de l’Enseignement Supérieur.

Le graal pour attester de la qualité de l’école de commerce est son appartenance à la Conférence des Grandes Ecoles, une association qui comprend 227 Grandes écoles (ingénieur, management, architecture, design, institut d’études politiques…) toutes reconnues par l’État, délivrant un diplôme de grade master.

 

Nous vous conseillons donc de prendre en compte l’excellence académique de l’école, notamment sa reconnaissance par l’Etat. Cela vous ouvrira plus de portes, si vous souhaitez poursuivre vos études ou vous donner les meilleures chances de trouver du travail à la sortie d’école.

 

L’excellence académique comprend aussi d’autres aspects sur lesquels vous devrez vous pencher pour faire votre choix :

 

  • Le contenu des programmes
  • Les spécialisations proposées
  • Les partenariats avec d’autres écoles
  • Le nombre d’étudiants par classe
  • Les labels (Equis, EPAS, AMBA, AACSB)

 

Critère n°2 :  L’ouverture sur l’international

 

L’international est très recherché des étudiants qui souhaitent intégrer une école de commerce. Une école de commerce vous offre normalement l’opportunité de réaliser des échanges et des stages à l’étranger. L’ouverture internationale ne rime pas seulement avec des voyages, elle rime aussi avec l’environnement dans lequel vous serez en école. En effet, certaines écoles accueillent de nombreux étudiants étrangers sur leur campus et proposent également des cursus 100% en anglais.

 

Ainsi, nous vous conseillons de vous intéresser aux éléments suivants :

 

  • La durée des échanges internationaux
  • Les spécialisations proposées sur un continent
  • Le pourcentage d’étudiants étrangers sur le(s) campus français
  • Présence de campus de l’école à l’étranger
  • Possibilité de suivre un cursus 100% en langue anglais

 

Critère n°3 : L’excellence professionnelle

 

C’est un critère très important, tout aussi important que la reconnaissance de l’école par l’Etat. Avant de faire votre choix, il faudra vous assurer que l’école vous permettra de vous former à votre futur métier, grâce aux cours, et grâce aux stages ou à l’alternance de façon plus concrète. Il faut aussi vous assurer que l’école que vous souhaitez intégrer est reconnue par les entreprises que vous visez après votre diplomation. Allez jeter un œil sur les profils LinkedIn des anciens étudiants de l’école pour voir dans quelles entreprises ils ont travaillé ou ils travaillent actuellement. Mais pas de panique, en intégrant une école de commerce, vous vous assurez de trouver du travail rapidement.

 

Pour vous assurer de l’excellence professionnelle de l’école, renseignez-vous sur les points suivants :

 

  • Nombre et durée des stages
  • Accompagnement à la recherche d’un stage
  • Partenariats avec les entreprises
  • Puissance du réseau alumni
  • Taux d’insertion professionnelle
  • Niveau des salaires à la sortie d’école

 

Critère n°4 : Le coût de la scolarité

 

Une école de commerce est un investissement conséquent, vous devez en être conscient ! Le prix varie d’une école à une autre mais le prix moyen est de 40 000 euros pour 3 ans si vous intégrez en Bac+2 (concours BCE, Ecricome, Tremplin, Passerelle). Lorsque vous êtes admis à une école et que vous n’êtes pas en capacité de payer seul l’école, vous pouvez vous tourner vers les banques pour contracter un prêt étudiant. Ce n’est pas exceptionnel et beaucoup d’étudiants le font pour payer leur scolarité : pas de panique, vous rembourserez ce prêt à la sortie de votre école. En plus de ces prêts, il peut exister des aides spécifiques à chaque école qui peuvent vous permettre d’alléger ces frais. Enfin, le meilleur moyen pour payer le moins possible et de faire une alternance le plus tôt possible : vos frais de scolarité sont pris en charge et vous êtes rémunéré.

 

Pour pouvoir être au clair sur le coût de votre scolarité, nous vous conseillons de prendre en compte les points suivants :

 

  • Le coût de chaque année d’étude dans l’école
  • Les différentes bourses et les critères d’attribution
  • La possibilité de faire une alternance
  • Partenariat avec des banques pour l’obtention d’un prêt
  • Soutien des anciens dans le financement des études

 

Critères n°5 : La position géographique de l’école

 

Ne nous le cachons pas, les lieux d’implantation de l’école sont très regardés par les étudiants. Avant de choisir votre école, renseignez-vous bien sur la ville ou les villes dans laquelle / lesquelles elle se trouve. N’hésitez pas à aller visiter avant de faire votre choix, car vous allez y passer du temps, surtout la première année !

 

Renseignez-vous sur :

 

  • La ville où se trouve le campus de l’école
  • La position géographique du campus : centre-ville ou périphérie ?
  • Le coût de la vie (loyer, nourriture…) dans la ville d’implantation de l’école
  • La facilité de logement (est-ce la guerre pour avoir un appartement ?)
  • Le dynamisme économique de la région

 

Critère n°6 : Le dynamisme associatif de l’école

 

S’il y a bien une chose qui caractérise la vie en école de commerce, ce sont les associations ! Elles rythmeront votre vie étudiante : elles vous permettront de rencontrer de nouveaux camarades, de vous former en travaillant sur des missions concrètes. Avant de choisir votre école, regardez bien les associations qui sont actives, n’hésitez pas à consulter pour cela les guides des associations sur les sites internet des écoles. N’hésitez pas non plus à échanger avec des étudiants de l’école pour savoir si chaque étudiant a la possibilité d’être dans une association !

 

Voici ce qui est important à savoir :

 

  • Le nombre d’associations dans l’école
  • Diversité des associations
  • Dynamisme de la junior entreprise
  • Possibilité pour chaque étudiant de faire partie d’une association
  • Le budget des associations
  • Organisation / Participation à des événements inter écoles

 

Enfin, si pour l’instant vous avez une école préférée, nous vous conseillons de ne pas passer qu’une seule école, les oraux sont une nouvelle occasion de connaître un peu plus les écoles. Des coups de cœur se produisent très tardivement dans l’année au moment du passage sur les campus : alors laissez-vous surprendre !

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Améliorer sa concentration pendant les concours

Temps de lecture : 10 minutes

Dans cet article, nous allons expliquer comment améliorer sa concentration. 

Lorsque l’on pense à la préparation d’un concours, une certaine logistique se met en place et le candidat visualise tout ce qu’il doit entreprendre. Il sait que, parmi tous les défis à relever, sa mémoire va être mise à rude épreuve, ses capacités d’organisation vont se retrouver sous pression, ainsi en ira-t-il d’autres éléments généralement sollicités lors de la préparation d’un concours. Étrangement, les capacités de concentration sont peu interrogées et les candidats sous-estiment grandement cette qualité. Pour des facultés intellectuelles équivalentes, les personnes capables de concentration profonde réalisent les opérations en moyenne 4 fois plus vite, mémorisent de manière plus durable et gèrent mieux leur stress. Avec des retours aussi positifs, il est donc étonnant que les candidats aux concours ne se soient pas plus penchés sur la question. C’est très certainement le fait que les problèmes de concentration n’ont pas de symptômes immédiatement reconnaissables et que leurs conséquences sont trop diffuses pour établir des liens de causalité. Pourtant il est nécéssaire de savoir comment améliorer sa concentration comment nous pouvons travailler dessus et comment nous pouvons éviter la dispersion. 

Les problèmes de concentration, un mal caché

L’environnement global d’un étudiant aujourd’hui se constitue d’un ensemble incroyable de distractions et de sollicitations. Plongé dans une « société du spectacle » pour reprendre les termes de Guy Debord, noyé dans « un monde de distractions » pour utiliser les mots de Jean-Philippe Lachaux, le candidat à un concours est, qu’il le veuille ou non, l’objet de nombreux stimuli qui viennent perturber sa concentration. Le principal danger pour la concentration réside dans le fait que ces stimulations sont insidieuses. Le temps moyen de concentration se situerait entre 20 et 30 minutes selon les personnes. Certaines, particulièrement douées, peuvent aller jusqu’à 45 minutes, mais quelles que soient les facultés, la concentration diminue nécessairement pour retrouver un état optimal après une pause. Mais cette concentration reste fragile : toute stimulation externe vient briser le cycle de concentration. Il faut en moyenne trois minutes pour retrouver un cycle de concentration à nouveau optimal. Des études ont montré que les personnes travaillant dans des open spaces perdent en moyenne deux heures de travail par jour en répondant aux diverses sollicitations, allant du "bonjour" aux ruminements du collègue d'à côté. S’il fallait illustrer le propos avec un phénomène courant chez les étudiants, travailler avec son téléphone portable à proximité est un véritable fléau : même en se contentant de regarder quelles notifications viennent faire vibrer le téléphone, à raison d’un regard toutes les 5 ou 10 minutes, un élève peut croire qu’il a travaillé pendant 1, 2 ou 3 heures alors qu’il n’en est absolument rien. Chaque notification et l’attention qu’on y porte viennent briser le cycle de concentration. Le cerveau voit son attention détournée. Parallèlement, des expériences en laboratoire ont montré l’impact d’un travail sur deux types d’écrans, ordinateur et téléphone, sur le fonctionnement du cerveau : celui-ci va fonctionner au ralenti en raison des multiples sollicitations et des différences de luminosité. Des opérations simples vont demander 4 fois plus de temps que nécessaire et seule la mémoire immédiate va être stimulée, la perte de temps est donc colossale. Un étudiant doit comprendre que son téléphone portable représente une menace évidente à la qualité de son travail. « Nous vivons dans une société où s’est développée une économie de la sollicitation et dont le modèle économique repose sur le fait que nous devons être devant nos téléphones portables pour pouvoir être exposé aux publicités et autres techniques de marketing. L’étudiant fait partie des cibles de cette économie. Il doit être conscient que tout est fait pour qu’il passe, pour ne pas dire perde, du temps sur son téléphone portable. »

Beaucoup d'étudiants sous-estiment également les effets pervers du multitâche. Dans Enseigner : apports des Sciences Cognitives, Nicole Boin explique aisément que mener deux tâches simultanément relève de l'impossible. Il suffit de réaliser l'expérience qui consiste à réaliser des séries d'opérations mathématiques simples tout en récitant l'alphabet pour s’en rendre compte. La double tâche donne l'illusion de l'efficacité alors qu'elle ne mobilise en réalité que la mémoire immédiate. Les capacités de conceptualisation, importante dans la mémorisation à long terme, ne sont pas du tout sollicitées. Si on ajoute à cela toutes les pollutions distractives qui entourent un étudiant, la capacité de concentration réelle risque d'être fortement diminuée. Un phénomène particulier réside dans la combinaison du phénomène de multitâche et de stress lié au concours. Mis dans une posture délicate dans le cadre de la gestion de son calendrier, un étudiant va générer un certain niveau de stress. Il va alors s'employer à se donner l'illusion de travailler pour se rassurer. Il va tenter d'atteindre un haut niveau de productivité qui n'est souvent pas compatible avec un travail de qualité. « A l’approche des épreuves, je vois très souvent les élèves déployer une énergie importante pour finaliser leurs dernières révisions. Je les voyais surtout en manque d’efficacité réelle. Il y avait une certaine productivité, par obligation au vu du calendrier, mais la capacité à faire face à la charge de travail ne correspondait pas à un travail intellectuel de fond qui soit de qualité. Il me suffisait de poser quelques questions transversales simples pour confirmer mon observation », confie Alexandre NOCART. Il convient de trouver un équilibre entre productivité et travail de qualité, ce qui réclame de solides qualités d'organisation et une capacité à se mettre en situation de concentration profonde. Il faut donc plutôt concentrer sur énergie sur une tâche précise plutôt que de se disperser dans plusieurs tâches en même temps. 

Retrouver de la concentration profonde pour être plus efficace

Attention et concentration sont intimement liées et s’il est une chose certaine, c’est qu’elles se dispersent très vite, mais l’étudiant doit être convaincu que savoir travailler avec un haut niveau de concentration lui sera plus que salutaire.

Ce qu’on appelle concentration profonde est l’activité cérébrale absolue qui permet d’utiliser pleinement toutes ses capacités cognitives, pour extraire toute la valeur de ces capacités et améliorer son savoir-faire. C’est une qualité rare qui est au cœur de nombreux ouvrages sur l’amélioration des conditions de travail dans les entreprises, à l’image du livre de Cal Newport, Deep Work, mais qui est parfois oubliée des interrogations autours des études ou de la préparation de concours, au profit d’interrogation sur la mémoire ou l’organisation.

Premier conseil : bien comprendre ce qu’est la concentration profonde. Réaliser une fiche de cours, même en étant très concentré ne relève pas de la concentration profonde : il s’agit d’une opération mécanique de résumé ou de mise en page d’un cours existant. Même si le travail de fichage peut être utile à la mémoire, il reste un travail superficiel sur le plan intellectuel. Réaliser une carte mentale, transformer un cours en dessin c’est-à-dire passer du verbal au non verbal relèvent déjà plus du travail en profondeur. Le travail en profondeur va monopoliser de nombreux processus, objectifs et facultés : concentration, réflexion, attention, qualité, valeur ajoutée, épanouissement…

Deuxième conseil : bien gérer ses pauses. « C’est un aspect essentiel lorsque l’on fait cours, explique Alexandre NOCART. On ne peut pas maintenir l’attention des élèves en continu pendant des heures. Il faut prévoir des moments de respiration. Ceux-ci se font assez naturellement généralement : on fait un point, un rappel, une plaisanterie puis une vraie pause. Il en va de même lorsque l'on apprend, or je suis surpris que les pauses soient très mal gérées : trop longues, trop courtes, non prévues, non reposantes. Il y aurait, selon moi, deux types de pause : une rapide, une longue. La rapide dure moins de cinq minutes et peut même durer quelques secondes uniquement. Elle intervient toutes les 20 ou 30 minutes généralement. Elle constitue une bulle d’air, pour remettre de l'ordre dans ses idées et son travail, passer à la suite ou juste regarder le plafond ou par la fenêtre. La pause longue intervient au bout de deux à trois heures de travail. Elle dure une quinzaine de minutes voire peut-être un peu plus. Elle représente une véritable coupure. On en profite pour fermer les yeux, prendre l’air, mettre son cerveau au repos. Dans les deux cas, pause rapide comme longue, il s'agit d'un temps calme. Utiliser son téléphone portable ne constitue pas une pause mais une distraction, ce qu'il ne faut pas confondre : le cerveau est stimulé, il se repose en aucun cas. Je compare souvent le cerveau à un muscle : il ne viendrait à l'esprit de personne, après un marathon, de partir faire de la boxe pour récupérer, or le téléphone portable a le même type d'effet lors des fausses pauses. Il crée une illusion de repos. ». Aspect important qu'il convient de noter : les pauses doivent être prévues afin d'optimiser la vitesse de travail. Il est établi qu'on travaille mieux quand le temps est clairement limité et que la récompense, ici une pause, est identifiée à l'avance. Le cerveau se focalise sur cet objectif et son efficacité est bien plus importante.

Troisième conseil : mettre fin aux réseaux sociaux. Le téléphone portable représente une source de distraction majeure et donc un véritable danger pour la concentration profonde. Parmi les distractions, les réseaux sociaux sont une des principales raisons de consultation du téléphone portable. Le problème est sérieux mais largement sous-estimé : les notifications et autres interactions virtuelles via le téléphone portable et les réseaux sociaux stimulent le cerveau. Celui-ci va libérer de la dopamine, hormone liée au circuit du plaisir et de la récompense, or ce type de stimulation crée un phénomène d'addiction. Certains chercheurs ont remarqué que les effets du téléphone portable et des réseaux sociaux étaient similaires à ceux constatés lors de l'utilisation de machine à sous. Il est évident que l'utilisation de ces premiers nuit gravement aux capacités de concentration. Un candidat aux concours doit mettre de manière claire des règles quant à l'usage des mobiles et réseaux sociaux. En 2007, pour achever l'écriture du dernier tome des aventures de Harry Potter, J.K. Rowling s'est enfermé dans un hôtel pour être au calme. Elle avait par la suite posté un tweet, le seul en près de deux ans : “C'est bien moi, mais je crains que vous n'entendiez pas souvent parler de moi, car le papier et le stylo sont ma priorité du moment.” Exemple à suivre.

Dernier conseil : définir des objectifs clairs avec une limite de temps. Cette technique est triplement efficace car elle aide aussi bien à la concentration, à l'organisation qu'à la mémorisation. Elle suppose au préalable un travail de visualisation de l'ensemble des tâches à accomplir, par exemple toutes les matières à réviser et ce que cela implique en terme de lecture, écriture, recherches et exercices par exemple. Les tâches sont divisées en sous-tâches avec des objectifs clairs. Ainsi, “réviser l'histoire” se transforme en “Réviser la guerre Froide > Réviser la Crise des missiles de Cuba > Comprendre comment une troisième guerre mondiale aurait pu exploser > Synthétiser les pages 14 et 15 du livre B”. Avec un peu d'expérience, on estime correctement le temps nécessaire pour effectuer la tâche. Un travail similaire est effectué jusqu'à que la journée, la semaine ou le mois soit correctement occupé en fonction des objectifs. Les objectifs étant bien découpés, ils sont nombreux mais plus faciles à atteindre, ce qui est stimulant et correspondent généralement à un temps de travail qui tourne autour d'une trentaine de minutes, ce qui est parfait pour un cycle de concentration. Les effets bénéfiques sont nombreux : le travail est mieux organisé, traité efficacement et plus rapidement, offre l'avantage de donner une excellente vision d'ensemble donc une meilleure appréhension des notions transversales, impose de se connaitre et de procéder aux ajustements pour tenir les objectifs, oblige à une réflexion préalable pour définir et organiser les objectifs ce qui est une aide à la mémorisation, oblige à prioriser et aide à la gestion du stress. L’opération est hautement plus stimulante pour le cerveau qui est moins enfermé dans des tâches mécaniques de révisions, ce qui développe les capacités intellectuelles. Le temps passé à faire ce type de travail est donc très largement rentable : rien d'étonnant que ces techniques soient adoptées par les grandes figures de l'entreprenariat, à l’image des méthodes « Agile ».

Conclusion : il existe de nombreuses techniques pour retrouver de la concentration profonde. Il faut bien en prendre conscience dans un premier temps et bien préparer un terrain propice à une concentration intense. Espace de travail, rythme, hygiène de vie, méditation, respiration, sieste, relaxation, observation détaillée d'objet pour développer sa concentration, apprécier l'ennui pour habituer son cerveau aux temps de respiration... les exemples ne manquent pas en la matière mais pour construire de bonnes habitudes en terme de préparation à un concours, la première étape serait de changer une première et petite habitude pour créer rapidement un cercle vertueux de travail efficace, profondément sérieux et épanouissant. Le jeu en vaut largement la chandelle car au-delà des avantages énoncés, il faut garder à l’esprit qu’une part importante de stress sera évacuée.

 

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TéMOIGNAGES

J’ai suivi la formation top5, et suis entièrement satisfait. Ma formation était complète, avec un grand suivi, et beaucoup de bonne humeur et de plaisir à former de la part des intervenants. Cette formation m’a permis de décrocher l’emlyon, mon objectif principal.

— Benjamin GRANGE (emlyon)

Je souhaiterais remercier l’ensemble de l’équipe PGE PGO. Vous m’avez véritablement aidé et accompagné dans ma préparation aux concours d’entrée en école de commerce post bac.

— Romain Durant (ESSCA)

Merci beaucoup pour votre préparation d’une très grande qualité. Elle m’a donné des conseils essentiels pour réussir. 

— Anabelle Seguret (Sciences Po Paris)

Cette année était plutôt compliquée, dû au stress. J’ai pu grâce à PGE-PGO me confronter aux concours pour mieux me préparer. Je tiens à remercier tous les professeurs qui nous ont accompagnés.

— Coline Dutartre (Sup’Biotech, concours Advance)

Merci à PGE PGO et ses professeurs merveilleux et passionnés pour cette préparation de qualité qui m’a motivé même chez moi à tout donner pour réussir les concours

— Julien Meli (IESEG)

Merci beaucoup pour vos conseils et astuces pour les écrits ou les oraux ! Je n’aurais pas eu ces superbes résultats sans PGE ! Il y avait une entraide entre les étudiants et l’équipe était bienveillante et toujours disponible !

— Laetitia Pereira (emlyon BS)

Les préparations de l’écrit et de l’oral ont été géniales dans le sens où elles ciblent parfaitement ce que demande les écoles.

— Edouard le Barazer (EDHEC)

Merci beaucoup pour cette année qui m’a permis de réussir dans ce que je souhaitais mais qui m’a également permis de prendre confiance en moi ! 

— Constance Cabibel (Grenoble EM)

Excellente formation, excellent entraînement, une équipe pédagogue et à l’écoute ! Merci pour le soutien et le professionnalisme !

— Margot Lautard (PSB)

J’ai fait PGE PGO pour préparer SciencesPo Paris, et j’ai trouvé la prépa géniale ! Les profs sont vraiment passionnés, les cours sont supers autant sur la méthode que sur le fond. Il y a un accompagnement personnalisé.

— Naoufel Debeche (Sciences Po Paris)

Cours précieux pour les écrits comme pour les oraux.

— Hugo Hazon (EDHEC)

Merci à PGE PGO grâce à qui j’ai pu intégrer Grenoble avec un joli 20 à l’oral 😁

— Thomas Bodart (Grenoble EM)

Les stages PGE PGO m’ont permis de découvrir les concours et de les travailler dans chaque discipline. La réussite des étudiants est réellement prise au sérieuse. Les professeurs étaient très agréables et c’était important pour eux de nous expliquer chaque point de cours. Ces stages m’ont permis d’obtenir l’école d’ingénieur de mon choix. Merci à eux !

— Mathilde Vert (ESEO, concours Puissance Alpha)

Excellent staff et accompagnement, intégration à l’EM Lyon à l’issue de celle-ci.

— Léonard Racon (emlyon)

PGE-PGO m’a énormément servi pour obtenir mon école, c’est certain : sans, cela aurait été beaucoup plus difficile d’obtenir mes concours. Les cours sont de qualité et il y a de très bons encadrants.

— Tanguy Morisseau (ESSCA)

Merci pour la qualité de votre préparation qui m’a permis d’être acceptée à Kedge BS, EM Normandie, ESCE, IPAG and ESSCA.

— Lou Bayle (Kedge BS)

Très bon suivi, j’ai eu l’EDHEC qui était mon 1er choix. Merci beaucoup, je recommande.

— Achille Paschos (EDHEC)